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Chaque mois, l'essentiel de l'actualité du droit et de la gestion de la création artistique
  
 Monsieur Jean-Paul JACOB, conservateur général du patrimoine, est nommé par arrêté du 10 novembre 2003 (Jo du 21 novembre 2003, p. 19777) Directeur Régional des Affaires Culturelles des Pays de Loire, et cela à compter du 1er janvier 2003 pour une durée de trois années.

Or, par arrêté du 7 mai 2003, Monsieur Jean-Paul JACOB, déjà mentionné comme directeur régional des affaires culturelles des Pays de Loire, était nommé administrateur de l’Institut national de recherches archéologiques préventives. Cet institut a une compétence nationale et est chargé notamment de l’élaboration des diagnostiques d’archéologie préventive de la Région Pays de Loire. Dans ses fonctions de directeur de la DRAC, Monsieur JACOB exerce la tutelle sur le service régional d’archéologie et est amené à intervenir en matière d’archéologie préventive. Il a donc des intérêts dans une entreprise dont il assure par ailleurs la surveillance, du moins lorsqu’elle intervient dans sa région. Ce faisant, la situation de Monsieur Jean-Paul JACOB nous semble relever des dispositions de l’article 432-12 du code pénal (1).

(1)L'article L.432-12 du Code pénal énonce :

"Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public ou par une personne investie d'un mandat électif public, de prendre, de recevoir ou conserver, directement ou indirectement, un intérêt quelconque dans une entreprise ou dans une opération dont elle a, au moment de l'acte, en tout ou partie, la charge d'assurer la surveillance, l'administration, la liquidation ou le paiement, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 Euros d'amende"
 
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