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Chaque mois, l'essentiel de l'actualité du droit et de la gestion de la création artistique
  
Avant-propos
Cet ouvrage a été écrit au printemps 1998.

À l’heure où l’on parle beaucoup des " Principes Républicains ", il me semble opportun de revenir au véritable sens de ce mot. CEAUSESCU aussi se disait républicain, Saddam HUSSEIN est également président de la République d’IRAK.

Républicain n’a jamais été synonyme de démocrate.
Cet essai, aux conclusions parfois violentes dans ce qu’elles impliquent, est pourtant nécessaire. À l’heure où les extrêmes de droite et de gauche reprennent du poil de la bête, il me semble urgent que la classe politique rétablisse l’État de droit dans notre pays.

La seule vraie manière de lutter contre les extrémismes, c’est de lutter contre ce qui fait que ces extrémismes existent, et parfois non sans raison. C’est l’apanage des démocraties de pouvoir se ressourcer. Il faut que la classe politique respecte les lois qu’elle édicte, respecte les citoyens et les entreprises qui paient des impôts et financent la vie publique.

Le ministère de la culture est une caricature des déviances actuelles du système qui détournent nombre de Français des urnes.

La gestion de la culture par le ministère déroge à l’ensemble des principes juridiques français sans que l’on n’ait jamais pris la peine de créer des bases et/ou mécanismes alternatifs, et étonnamment, personne n’a jamais soulevé ce problème !

Ce flou juridique répond à une stratégie. Il permet aux pouvoirs publics et à une aristocratie de fonctionnaires qui tiennent les commandes de l’État d’appliquer le droit quand bon leur semble et contre qui leur semble. Cet essai se veut donc une vraie réponse contre l’extrémisme et une défense des valeurs démocratiques dans la liberté, y compris dans l’art.
 
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