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Chaque mois, l'essentiel de l'actualité du droit et de la gestion de la création artistique
  
Annexe 12.
Réponse du ministre de la culture
et du président du CNAPConcernant l'organisation du Centre National des Arts Plastiques

" A titre d'exemples, le CNAP gère l'attribution des aides individuelles aux artistes (allocations d'installation et secours d'urgence) qui représentent en 1997 un budget total de 1 836 000 F, et des montants attribués compris entre 5 000 et 15 000 F. La gestion par l'administration centrale risquerait de faire disparaître la notion même de secours d'urgence. "

Le ministère de la culture se permet donc de justifier un budget global de plus de 300 MF (316 MF en 1996) par l’octroi de 1,836 MF pour secours d’urgence. Il serait d’ailleurs intéressant de voir à qui ces secours sont réellement attribués et selon quels critères. En tout cas, cela fait cher la gestion des secours d’urgence ! (Ndla)

Concernant les frais de fonctionnement du CNAP


" La cour relève que la part des crédits d'intervention - dépenses d'aide à la création artistique et d'achats d'œuvres d'art - au sein du budget du CNAP est passé de 73 % à 40 % en six ans. Il semble difficile de faire grief au CNAP de la diminution de ses crédits d'intervention.

En l'absence de personnel, de locaux et de frais de structure propres à l'établissement, comme la Cour l'a bien noté, la direction du CNAP ne génère au sens strict aucun coût de fonctionnement.

La hausse relative des frais dits de fonctionnement du CNAP par rapport aux dépenses d'intervention a été accentuée par le transfert sur le CNAP, en 1992, des dépenses de vacations. "

 
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